Prenez soin de votre sommeil

Aujourd’hui, il existe de nombreux éléments qui peuvent perturber le sommeil, le stress, des inquiétudes, des problèmes de santé, l’insomnie ou l’apnée du sommeil, etc. Alors, comment prendre soin de votre sommeil ? Déjà, faites en sorte d’avoir une bonne literie, un matelas pas trop dur ni trop mou. Puis, veillez à ce que votre chambre à coucher soit un lieu de repos et de détente et non un lieu de travail par exemple. Plongez votre chambre dans la pénombre au moment du coucher pour favoriser l’arrivée du sommeil et faites qu’elle soit fraîche et non trop chaude. Essayez de dormir à heures fixes, pas trop tard et de vous lever à heures fixes également.

Agissez pour mieux dormir

Une personne qui dort bien chaque nuit se lève avec plus de tonus et de vigueur, elle est capable de prendre à bras-le-corps ses activités en toute sérénité. Donc, pour être de bonne humeur et efficace chaque jour, dormez bien chaque nuit. Instaurez un rituel qui va vous aider à mieux dormir. Peut-être un bain chaud avant le coucher, une tisane ou un quart d’heure de lecture. En tout cas, évitez de manger trop copieux le soir, car l’indigestion vous empêchera de bien dormir. Évitez également les tablettes et smartphones au lit, éteignez-les avant de vous glisser dans vos draps. Fixez votre esprit sur des pensées positives et apaisantes et le sommeil viendra plus facilement.

Chaque hypnothérapeute a sa propre définition de l’état d’hypnose, il n’existe pas de définition universelle de l’hypnose.

Cependant certaines métaphores correspondent aux stéréotypes associés à l’hypnose, comme le sommeil, I n’y a pas un sommeil, mais plusieurs phases de sommeil :

Le processus d’endormissement ; la somnolence ; le sommeil paradoxal où se produisent les rêves, le sommeil profond …

Si tous ces sous-états sont tous réunis sous l’appellation “ sommeil “ ils sont tous très différents dans leur fonction et leur ressentis.

De la même manière, l’induction à l’état de l’hypnose ; une transe légère, profonde, ou somnambulique seront toutes regroupés sous le nom d’état d’hypnose, mais seront toutes très différente tant au niveau de leurs rôles et de leur de ressenti.

– L’état d’hypnose, un état naturel ? réceptivité et résistance

Une des grandes révolutions de l’hypnose fût l’opposition du jeune Milton Erickson, avec son professeur de l’époque, Clark Hull.

Clark Hull hypnotisait alors ces sujets via des inductions strictes suivant des étapes et
des protocoles précis, si à l’issue du protocole il estimait que les sujets n’avaient pas été hypnotisés, ils déclaraient les sujets “ non-hypnotisables “.

Cette pratique était jusque-là la norme, l’opposition de Milton Erickson consista à récupérer discrètement les sujets “ non-hypnotisables “ pour les hypnotiser avec des techniques qu’il développait, en s’adaptant à chaque personnalité, sans notion de temps ou de protocoles stricts, et il réussit à hypnotiser les sujets déclarés non hypnotisables.

Milton Erickson n’aura cessé toute sa vie de penser que toute personne était hypnotisable, chacun à sa façon et à son rythme, étant également persuadé que l’hypnose était un état naturel, et donc accessible à tous.

Les résistances à l’hypnose sont souvent liées à une mauvaise

– Transes spontanées et openers

Certains états spontanés du quotidien peuvent ressembler à certaines transes hypnotiques, voici quelques exemples de certains états naturels exploitables pour l’hypnose

Vous pouvez retrouver beaucoup d’informations sur l’hypnose sur le blog de cet hypnothérapeute : https://www.peyrega-hypnose-paris.fr/

L’absence, la rêverie, le “ bug “

Cette légère “ absence “ que l’on va tous vivre plusieurs fois par semaine, qui consiste à laisser son regard se fixer sur un point, le corps immobile, coupé quelques des sons ambiants et d’une forme de réalité le temps de quelques secondes, est semblable en beaucoup de points à certains états d’hypnoses.

On y retrouve très souvent une catalepsie, un regard fixé sur un point, et dans une certaine mesure l’abstraction des sons ambiants.

Voici un exemple simple de l’utilisation d’une porte d’entrée dans l’état d’hypnose via un état spontané du sujet.

La gêne, la confusion :

Lors d’une démonstration filmée, le grand hypnothérapeute Milton Erickson utilisa le retard d’une des spectatrices pour créer une gêne, il profitait que cette jeune femme essayait d’aller s’asseoir le plus discrètement possible pour l’interpeler et la faire venir s’asseoir devant lui, devant tout le public.

Il ne manqua pas de profiter de ce moment de honte pour proposer à cette spectatrice de servir de sujet de démonstration, elle acceptait et partait très rapidement en transe, ce qui représentait pour elle un très bon moyen d’échapper au regard des gens présents dans la salle et à la grande gêne qu’elle devait ressentir.

La confusion fonctionne sur ce principe, créer ou profiter d’un surplus d’information pour proposer par la transe hypnotique une porte de sortie simple.

Utiliser le fait qu’une personne soit mal à l’aise, gêné, ou en confusion est une parfaite porte d’entrée pour l’hypnose, que ces états soient créer par l’hypnotiseur ou utilisé dans un état déjà présent.

La fatigue :

La fatigue est un excellent état à exploiter pour partir en hypnose, et dans ce cas précis, les raccourcis avec le sommeil seront un parfait moyen d’aller rapidement dans des transes stuporeuses profondes.

– Les capacités de l’état d’hypnose :

Une des très bonnes façons de présenter l’hypnose et de donner envie de la vivre est d’expliquer les possibilités qu’elle offre, via des exemples et des petits exercices

Dans le passé, Milton Erickson eut l’occasion de prouver les capacités obtenues avec l’état d’hypnose, notamment lors de deux expérimentations :

Refroidir ou réchauffer une main sous hypnose :

Lors de cette expérience, Milton Erickson réunissait 7 personnes, l’expérimentation fut contrôlée à l’aide d’un pléthysmographe afin de mesurer les changements physiologiques.

À l’état d’éveil, il donna comme instruction à chaque personne de fixer une horloge du regard durant cinq minutes en essayant de refroidir une main et de réchauffer l’autre.

Les contrôles volumétriques ne montrèrent aucun changement.
Pour la deuxième partie de cette expérimentation, tous les sujets furent plongés dans une transe somnambulique profonde, puis on leur donna les mêmes instructions.

Sur les 7 sujets, toutes les mesures démontrèrent que chaque sujet avait développé une vasoconstriction pour la main refroidie, puis une vasodilatation pour ma main réchauffée.

Plus intéressant encore, après entrainement et en autohypnose, tous les sujets réussirent de façon autonome à recréer eux-mêmes les sensations de chaud et de froid et les modifications corporelles associées.

Conclusion :

Nous pouvons tirer comme conclusion que beaucoup de reflex du corps non contrôlable à l’état d’éveil peuvent être modifié grâce à l’état d’hypnose et dans un deuxième temps grâce à l’état d’hypnose.

La technique pour obtenir ces phénomènes sous hypnose consiste à faire revivre les réactions que le corps a pu manifester dans des situations passées, avec un stimulus revécu à l’aide d’une régression pour l’occasion.

Le champ d’action en thérapie est énorme, une personne souffrant de phobie, de crise d’angoisse, de gêne physique liée à la prise de parole en public manifeste très souvent de nombreuses gênes physiologiques.

Les possibilités de l’état d’hypnose dans le domaine médical et dans la thérapie sont énormes, et nous n’avons sans doute pas encore découvert toutes les capacités de cette formidable discipline

La date limite de consommation (DLC)

D’après les articles de Ma Maison Ma Santé, il est important de privilégier une alimentation de qualité. Il suggère même de manger surtout des produits bios. Mais si vous ne pouvez pas acheter des produits frais, vous pouvez toujours utiliser des produits en conserve. Pour s’assurer de la qualité du produit, il ne faut pas oublier de vérifier la date limite de consommation. En effet, sur le paquet d’un produit alimentaire est indiquée la mention « à consommer jusqu’au ». L’inscription de cette date est une obligation pour les produits périssables. Ainsi, au-delà de cette date, il est interdit de consommer l’aliment, car il devient toxique à cause de la présence de certaines bactéries comme la salmonellose et la listériose.

La date limite de durée minimale (DDM)

Elle est déterminée par la mention « à consommer de préférence avant le… ». Cette information est surtout présente sur les produits comme les conserves et les boissons. Manger le produit au-delà de cette date n’a aucun impact sur la santé, mais le goût sera alterné par le temps et les garanties nutritionnelles sont réduites. Bien évidemment, pour plus de sécurité, il est préférable de consommer l’aliment avant cette date.

Peut-on adopter une marge de quelques jours ?

Pour connaître la date limite de consommation, les experts effectuent des tests de vieillissements sur le produit. Cela leur permet de savoir au bout de combien de temps les produits commencent à être contaminés. Pour des raisons de sécurité, les producteurs rajoutent quelques jours supplémentaires, afin d’éviter les anomalies de conversation des consommateurs. Ainsi, si vous consommez le produit environ 24 h après cette date, les risques d’intoxications alimentaires sont moindres. Cependant, ce délai dépend surtout de la nature de l’aliment. Un pot de yaourt peut avoir un goût plus acide après la date de péremption, alors que les charcuteries seront très toxiques au-delà de cette date.

Est-il possible de congeler un produit ?

Oui, il est tout à fait possible de le faire, mais cela ne veut pas dire que vous devez oublier la date limite de consommation. Vous devez prendre la précaution de lire le nombre de jours avant la date de limite de consommation. Une fois la décongélation effectuée, vous n’avez que ces quelques jours pour consommer le produit.

Attention, le fait de congeler un produit dont la DLC est dépassée est très dangereux pour la santé, car les bactéries se multiplient beaucoup plus vite quand vous décongelez le produit. Si vous le consommez, vous pourrez être victime d’une intoxication alimentaire grave.

A jeter après la date limite de consommation

Une fois la DLC dépassée, certains aliments présentent une texture assez inhabituelle. Vous devez ainsi tout de suite jeter les céréales, les pains et les fruits secs qui ont une trace de moisissure. Les charcuteries et les viandes sont à jeter une fois qu’il y a un gonflement au niveau de l’emballage. Les produits contenant une importante quantité d’eau et qui sont déjà couverts de traces de moisissures sont à mettre à la poubelle. Les boîtes de conserve ayant un couvercle bombé, les œufs fêlés à cause de la salmonelles et les œufs qui flottent si on les plonge dans un verre d’eau sont à jeter. Il est à noter que l’œuf fait partie des aliments les plus toxiques qu’il faut tout de suite jeter dès que la date de péremption est dépassée.

La table d’examen est la plus basique et complète

De conception rudimentaire, la table d’examen permet au patient de s’allonger. Ce mobilier médical est souvent fixe. Il convient à bon nombre de praticiens en commençant par le généraliste. Les masseurs kinésithérapeutes et d’autres soignants utilisent également ce plateau. Basique, ce support se destine juste à ausculter un malade en position couchée. Il n’y a pas de réglage possible en ce qui concerne la hauteur. L’ergonomie n’est pas au rendez-vous non plus. Certains modèles ont un peu évolué avec une sellerie plus confortable.

Le divan d’examen veut être un mobilier médical moderne

Avec le divan d’examen, le confort du patient est déjà considéré. Il peut rester quelques minutes sur le mobilier sans se sentir mal. Ce qui offre au praticien la possibilité de l’ausculter sans se presser. La véritable différence avec la table médicale classique serait la hauteur réglable. L’ensemble se compose de deux éléments. La tête peut être relevée. C’est également le cas pour le buste si le médecin a besoin de maintenir son client dans cette position. Le dossier est même commandé par un vérin hydraulique ou un moteur électrique sur certains modèles.

Un fauteuil d’examen offre une assise confortable

Le fauteuil d’examen est un véritable divan. Il permet au patient de se tenir en 3/4 couché. Cette posture est indispensable pour de nombreux cabinets, en l’occurrence chez le psychothérapeute. L’équipement invite à se détendre avec une position agréable pour les jambes et les bras. L’inclinaison est gérée de manière à ménager la colonne vertébrale. A la différence du divan, le fauteuil d’examen ne permet pas de s’allonger complètement.

Définition de l’hystérosalpingographie

L’hystérosalpingographie est un examen médical pratiqué sur les femmes. C’est un examen radiographique permettant d’explorer l’utérus et les trompes de Fallope en vue de détecter toute forme d’anomalie. Pour vérifier la perméabilité des trompes, il faut, lors de l’examen, injecter un produit spécifique dans la cavité utérine. L’HSG ou hystérosalpingographie, en plus de permettre de vérifier la perméabilité des trompes, sert aussi à confirmer que la cavité utérine est normale, tout comme les orifices internes et externes des trompes et les trompes utérins eux-mêmes. A noter que cet examen ne sert pas à explorer les ovaires. Le plus souvent, l’HSG est demandée par le médecin pour établir un bilan de santé ou bien un bilan de fausses couches répétitives ou tardives. Elle peut aussi être indiquée en cas d’accouchement prématuré ou de saignement utérin. Elle sert d’ailleurs à confirmer une anomalie détectée au niveau de l’utérus après une échographie. En gros, l’hystérosalpingographie est indiquée pendant le traitement de la stérilité, surtout quand celle-ci est d’origine tubaire. Parfois, pour plus de précision, l’hystéroscopie diagnostique peut être pratiquée pour plus de précision. A noter que ce type d’examen peut être contre indiqué dans certains cas notamment chez les femmes enceintes ou en présence d’une infection génitale évolutive.

Déroulement de l’hystérosalpingographie

L’hystérosalpingographie se pratique avant ou après la période des règles, le mieux c’est de faire l’examen pendant la première partie du cycle : entre le huitième et treizième jour. En effet, ce moment-là, c’est certain que la patiente n’est pas enceinte. De plus, il est plus pratique d’analyser l’endomètre cette période car il est plus fin. Sinon, si la patiente n’a plus ses règles puisqu’elle se trouve déjà en période de ménopause, l’hystérosalpingographie peut toujours être réalisée sauf si elle présente des saignements. Il faut, dans ce cas-là, pratiquer l’examen quand la patiente ne présente pas de saignement. Quoi qu’il en soit, la vessie doit toujours être vide pour que tout se déroule bien. La patiente est placée en position gynécologique sous un appareil spécifique de radiographie. Un spéculum est inséré dans le vagin ainsi qu’une sonde pour permettre l’injection du produit de contraste, qui va parcourir la cavité de l’utérus et les trompes. Pour bloquer le retour du produit dans le vagin, le médecin utilise un ballonnet minuscule qu’il faut gonfler. Ensuite, il procède à la prise de nombreux clichés radiographiques. On demande à la patiente de porter une serviette hygiénique puisqu’après l’examen le reste du produit de contraste s’écoule à l’extérieur. Il est possible de présenter des saignements quelques jours après l’hystérosalpingographie. Il ne faut pas hésiter à en parler au médecin car cela peut être le signe d’une infection. Avant l’examen, le médecin doit informer la patiente des douleurs que cet examen peut présenter. En effet, l’insertion de la sonde peut faire mal. A noter que lorsque le produit de contraste se répand, les douleurs peuvent aussi être vives.

Quel matériel utiliser ?

Ceux qui travaillent en milieu hospitalier ont souvent recours aux gants à usage unique lorsqu’elles interviennent sur un patient ou manipulent des objets sensibles. Il s’agit d’un matériel médical qui permet d’éviter la transmission de germes entre le patient et la personne effectuant une intervention. Toutefois, l’usage de ce type d’accessoire ne garantit pas toujours la propreté, c’est pourquoi le personnel de santé doit toujours se laver les mains. La désinfection des mains peut se faire avec du simple savon et de l’eau. Le savon liquide est le plus utilisé dans ce cas puisque contrairement à un pain de savon, il est moins sujet aux risques de contamination. Bien évidemment, ceux qui ont des mains sensibles peuvent opter pour des savons doux. Les savons pour mains ou peau sensibles sont notamment disponibles dans les pharmacies.

Le gel hydroalcoolique, facilement accessible sur les sites comme https://www.medicaffaires.com/, est également un matériel médical efficace pour désinfecter. Il permet de tuer les germes et les microbes. Son utilisation a cependant une limite puisqu’il ne peut nettoyer les mains salies par le sang, la graisse ou d’autres éléments très salissants. Avec la propagation de la covid-19, l’achat des gels hydroalcooliques est devenu aussi courant que l’achat de savon classique.

Enfin, il vous est tout à fait possible de préparer vous-même une solution antiseptique à base d’huiles essentielles pour désinfecter efficacement vos mains.

Comment se laver les mains ?

Les gels hydroalcooliques sont une solution rapide et efficace lorsque vous n’avez pas d’eau et de savon à proximité. L’avantage avec le gel, c’est qu’il est facile à transporter et peut se ranger dans une trousse de secours. Pour utiliser ce type de gel, vous devez en appliquer sur la paume de la main. Frictionnez ensuite vos mains afin de répartir le gel sur vos mains jusqu’au bout des doigts. Attendez que le gel sèche. Cela peut prendre jusqu’à 20 secondes. Faites attention, car le gel hydroalcoolique n’est pas un produit comestible. Si vous en avez la possibilité, le mieux pour désinfecter vos mains, c’est d’utiliser de l’eau et du savon. Pour cela, vous devez commencer par mouiller une main avant d’y appliquer du savon. Pour actionner la pompe, vous devez utiliser votre coude et non votre main. Faites bien mousser en frottant les revers de vos mains et vos doigts pendant au moins 20 secondes. Rincez ensuite vos mains et faites-les sécher à l’air libre ou utilisez un essuie-main à usage unique. Notez que les serviettes, en apparence propre, peuvent contenir de nombreux microbes.

Les lingettes représentent une autre solution vous permettant de vous désinfecter les mains. Pour les utiliser, frottez vos mains avec une lingette pendant quelques secondes. Tout comme les gels hydroalcooliques, les lingettes désinfectantes ne peuvent pas remplacer l’eau et le savon.

Quand se laver les mains ?

Habituellement, il faut se laver les mains après avoir touché des éléments salissants (après avoir joué avec un animal, après son passage aux toilettes, etc.). Il faut également se laver les mains pour ne pas contaminer un élément (son repas à manger, une blessure à panser, etc.). Dans le milieu médical, nettoyer ses mains est une habitude avant et après avoir effectué un contact avec un patient. À cause de la pandémie de covid-19, il est aussi nécessaire de se laver les mains après avoir été dans un lieu public. Si vos mains ont été en contact avec des objets ou des surfaces fréquemment touchés par le public, vous devez les désinfecter. Si vous ressentez le besoin de frotter les yeux ou la bouche, vous devez d’abord vous laver les mains. C’est en vous touchant les yeux, le nez ou la bouche avec une main non désinfectée que vous permettez aux microbes d’entrer dans votre organisme. Avec une main propre, les risques sont moins importants. Garder vos mains propres doit être une habitude si vous souhaitez vous protéger et protéger votre famille de toute maladie. Même lorsque la pandémie de la covid-19 sera passée, cette habitude doit rester.

Le jeûne et la santé

Dès notre jeunesse, on nous a enseigné que pour grandir, il faut bien manger. À côté, le jeûne thérapeutique, privation de nourriture sur une période plus ou moins longue est réalisé pour garder la forme. Comme quoi, il est souvent difficile de se situer. Le jeûne est une pratique qui a été longtemps utilisée par les différentes religions afin de permettre à l’organisme de se reposer.

Les vertus du jeûne thérapeutique

Outre l’aspect religieux, le jeûne possède encore des vertus thérapeutiques. Faire quelque séance de jeûne est bon pour la santé. Cette méthode de privation de nourriture permet au corps de s’autonettoyer. C’est une technique qui a déjà fait ses preuves pour éliminer les toxines de l’organisme et les mauvaises graisses.

Quelques techniques de base du jeûne

Si vous souhaitez entreprendre un jeûne thérapeutique, il est recommandé de consulter d’abord un médecin ou un spécialiste. Ce dernier peut vous orienter sur la manière de faire votre privation de nourriture. Pour se préparer à cette période de changement, le mieux est de diminuer progressivement les quantités de nourriture. Ceci est pour éviter un éventuel choc et des effets secondaires. Aussi, pour réussir votre jeûne, il est important d’éviter l’alcool et le tabac.

Un soutien-gorge mal adapté

La cause la plus courante de la présence de douleurs aux seins est un port de soutien-gorge inadapté. Il est vrai que le choix de ce sous-vêtement peut être difficile à faire, surtout si la femme ne connait pas la taille qu’il lui faut. On reconnait ce problème au fait que la douleur s’estompe une fois que le soutien-gorge a été ôté.
Cette douleur est due à un mauvais ajustement de la taille, mais aussi à des tissus qui frottent sur la peau. Parfois, il se peut que ce soit la baleine du sous-vêtement qui s’enfonce dans la chair. Ce sont des détails sur lesquels il faut porter attention. Il est alors important de bien déterminer le soutien-gorge idéal pour éviter de supporter cette sensation d’inconfort.

Une méthode de contraception dysfonctionnelle

Lorsqu’une femme opte pour certaines méthodes contraceptives, il est important qu’elle en connaisse tous les effets secondaires. En effet, les contraceptions à base hormonale modifient certains aspects de l’organisme, amenant souvent une douleur aux seins.
Les seins deviennent sensibles, gonflent, allant même jusqu’à créer un désagrément dans le port de soutien-gorge. Dans ce cas-là, il est préférable d’en informer le médecin afin de trouver des solutions adéquates. Il est également conseillé de trouver une méthode contraceptive beaucoup plus adaptée à l’organisme.

Pourquoi nos concitoyens sont-ils stressés ?

Plus de 30 % des Français sont stressés parce qu’ils trouvent que leur patron n’a aucune considération pour leur personne, pour leur bien-être psychologique et encore moins pour leur famille. Tout ce qui compte pour ce genre d’employeurs, ce sont les résultats, encore plus, encore mieux. Le reste n’est que subsidiaire. Les salariés disent aussi que leur employeur semble s’intéresser à leur état mental, à leur santé psychologique, mais que ce n’est pas sincère : c’est superficiel, juste histoire de presser encore plus leurs employés. Donc, on peut dire que le mal-être est partout aujourd’hui. Mais c’est un mal dont on n’a pas le droit de parler. Et cet interdit rend les choses encore plus compliquées, ce qui nourrit encore plus le stress. Certains parviennent à en parler, mais plutôt à leurs amis proches ou à leurs collègues, mais peu osent s’en ouvrir à leur manager. Un petit 10 % se risque d’en parler au responsable des Ressources Humaines. Or, le fait de ne pas pouvoir parler librement de ce qu’ils ressentent et vivent augmente d’autant plus le stress qui les tenaille. Il est à noter que le stress peut provenir d’autres sources, un problème au niveau de la famille ou de la santé. Ajouté cela au stress au travail, la coupe est pleine, elle déborde.

Les conséquences du stress

Les Parisiens comme d’autres Français sont stressés. Il semble que les habitants du Sud-Ouest comme ceux du Centre et ceux de l’Île-de-France sont les plus touchés par le stress. Les Français qui sont soumis à un stress important de façon prolongée sont sujets à des problèmes de santé plus ou moins graves. Tout commence par des troubles psychiques, tels qu’un souci de concentration, des problèmes relationnels ou familiaux. Cela peut finir par des problèmes de santé physiques tels que des troubles digestifs, des nausées, des vomissements, des maux de tête chroniques, des troubles du sommeil, une perte d’appétit et un désintérêt croissant pour tout. Des maladies plus graves peuvent en résulter, telles que des maladies cardiaques, des problèmes de tension artérielle, des douleurs au dos, aux articulations, etc. Selon la sensibilité ou la fragilité des uns et des autres, d’autres pathologies peuvent apparaître. Même les enfants, les adolescents ou les jeunes qui sont stressés ne sont pas épargnés par ces maux. C’est une réalité à laquelle personne n’échappe plus de nos jours. Oui, mais comme l’explique ce blog, il est tout à fait possible d’apprendre à gérer le stress. La méditation, le yoga, etc. sont autant d’exercices pouvant vous aider à réduire considérablement votre niveau de stress.

Prenez des mesures énergiques

Sur le plan personnel et familial, vous pouvez agir de manière efficace pour éviter d’être infecté par le COVID-19. Concrètement, que pouvez-vous faire ? Ce qu’on appelle mesures barrières qui, selon les experts, restent les mesures qui marchent le mieux pour se protéger du virus. L’un de ces gestes essentiels, c’est de vous laver les mains régulièrement ou plutôt le plus souvent possible. Pour que ce geste simple réduise les risques de contamination, voici ce que vous devrez faire : passez vos mains sous l’eau, mettez du savon, frictionnez pendant 30 secondes, lavez vos ongles, vos paumes, l’extérieur de vos mains, les jointures jusqu’à vos poignets, rincez abondamment et séchez-les sur une serviette propre ou sur une serviette à jeter.

Utilisez le gel hydroalcoolique

Si vous êtes dehors ou au travail et que vous n’avez pas accès à de l’eau courante et propre, vous pouvez laver vos mains à l’aide d’un gel hydroalcoolique. Les règles d’utilisation sont les mêmes qu’avec de l’eau et du savon, et à répéter dès que vous arrivez quelque part, après avoir pris les transports en commun, chaque fois que vous sortez des toilettes, après avoir éternué ou toussé, après vous être mouché etc. Ce genre de gel désinfecte mais rappelez-vous qu’il ne nettoie pas, il ne remplace jamais le lavage à l’eau et au savon.