B.B.ba du lissage brésilien

Le lissage brésilien convient à tous les types de cheveux, qu’ils soient frisés, bouclés, crépus ou abîmés. Il réduit le temps de coiffage et facilite le démêlage. Le lissage brésilien est donc le soin idéal pour sublimer votre chevelure et la protéger des agressions extérieures.

Comment se déroule le traitement ?

Il est mieux de réaliser votre lissage brésilien en salon de coiffure. Confiez votre crinière aux mains expertes d’un coiffeur professionnel. Ce dernier vous fait un shampoing pour préparer les cheveux à l’application du traitement. Puis, il répand le produit de lissage sur toute votre chevelure. Il procède minutieusement, mèche par mèche, car le produit doit recouvrir, envelopper chaque brin de vos cheveux. Une fois qu’il est sûr que l’intégralité de votre chevelure a reçu le produit, il la passe au fer à lisser qui est réglé à une température bien précise. C’est après que toutes les mèches sont lissées au fer que le traitement est terminé. Contemplez le résultat dans le miroir. Dans les semaines qui suivent, vous vous concentrez sur l’entretien de votre lissage.

Comment entretenir vos cheveux après le traitement ?

Le traitement est maintenant terminé et votre chevelure est sublime. Il s’agit maintenant pour vous de garder les bienfaits du lissage brésilien le plus longtemps possible. Vous pouvez même conserver ces bienfaits au-delà de la durée indiquée sur le kit de lissage brésilien si vous vous occupez correctement de vos cheveux. Il est crucial que vous les entreteniez, que vous en preniez soin si vous voulez que l’effet lissant et brillant du lissage ne s’estompe pas en quelques semaines.
Les produits sans sulfate et sans sel sont les plus appropriés à l’entretien capillaire après un lissage brésilien. C’est parce qu’ils respectent le traitement à base de kératine. Ils ne l’endommagent pas. La routine est assez simple. Une ou deux fois par semaine, lavez vos cheveux avec un shampoing et un conditionneur spécialement formulés pour les cheveux ayant bénéficié d’un lissage brésilien. Appliquez-leur ensuite un masque capillaire enrichi en kératine. Ce dernier les nourrit et les répare, ce qui prolonge l’efficacité du lissage brésilien.
L’hydratation est également indispensable pour que vos cheveux restent sains. Des cheveux bien hydratés sont des cheveux protégés contre les agressions extérieures. Par la même occasion, ils conservent la brillance qu’ils ont héritée du lissage. Hydratez-les avec une huile ou un sérum.

Quels sont les effets du lissage brésilien sur les cheveux ?

Il y a d’abord l’aspect esthétique : vous vous retrouvez avec une belle chevelure soyeuse, facile à coiffer de surcroît. Vous êtes donc en mesure de vous offrir toutes les fantaisies capillaires possibles et imaginables. Par-dessus tout, ce traitement offre une cure de jouvence aux crinières fatiguées, abimées, en piteux état. Le lissage brésilien répare en profondeur les cheveux abîmés. Il les ressuscite, leur redonne vie. Leur résistance s’accroît : vos cheveux sont donc plus forts qu’avant la réalisation du traitement.

La kératine : pierre angulaire du lissage brésilien

La kératine est une protéine. Elle forme la structure de base d’un brin de cheveux. C’est à elle que les cheveux doivent leur force, leur résistance et leur brillance. Injectez de la kératine dans des cheveux abimés, ternes, cassants, fatigués, dévitalisés, et un miracle se produit : ils retrouvent une excellente forme ainsi que leur souplesse d’antan. Ils sont de nouveaux soyeux et brillants. L’efficace du lissage brésilien repose sur l’exploitation intelligente de la kératine.

La mise en place du traitement

Le lissage brésilien doit toujours avoir lieu dans un salon de coiffure professionnel. La réalisation du traitement se déroule obligatoirement sous la supervision d’un coiffeur qualifié. Vous êtes autorisés à apporter votre propre kit de lissage brésilien si c’est celui que vous souhaitez utiliser. Dans un premier temps, le coiffeur lave vos cheveux pour être sûr qu’ils soient bien propres. Il attend que vos cheveux soient totalement secs. Puis, il applique le produit de lissage brésilien contenant la kératine et divers actifs, chacun ayant un rôle précis.

À ce stade, vos cheveux ne sont ni hydratés ni nourris. Le coiffeur doit encore les lisser au fer à deux reprises. Cette procédure active la kératine et enclenche le processus de réparation et de lissage de vos cheveux. C’est en effet pendant cette étape que se produit le scellage de la kératine au sein de la fibre capillaire. Que signifie ce phénomène ? La chaleur de la première tournée du fer à lisser ouvre les cuticules des cheveux. La kératine, accompagnée des actifs, s’introduit dans le cheveu. La chaleur diffusée durant la seconde tournée du fer à lisser va sceller (on peut dire plus simplement « fermer ») les cuticules. La kératine ne peut plus en ressortir et fait désormais partie du cheveu. Elle peut commencer à réparer et à protéger le cheveu. Ce scellage des cuticules entraîne aussi un lissage de la chevelure.

Une fois les scellages effectués, la fibre capillaire va également pouvoir se nourrir des actifs que la kératine a introduits avec elle. Certains de ces actifs servent à la réhydrater abondamment. Au fur et à mesure que le coiffeur discipline les mèches à l’aide du fer à lisser, votre chevelure gagne en douceur, en souplesse et en brillance. Elle est en pleine résurrection et se revigore. Elle devient soyeuse.

Le mécanisme de réparation et de protection

La kératine a plusieurs fonctions. Elle est un agent de lissage. Par-dessus tout, elle favorise la réparation des cheveux. En outre, elle leur offre une protection thermique. Cela signifie qu’elle les protège contre les dommages causés par la chaleur, quelle qu’en soit la source (sèche-cheveu, lisseur, fer à boucler casque sèche-cheveux, soleil estival, etc.). Une trop forte chaleur endommage la cuticule du cheveu. Ce dernier devient sec et cassant. Si cette exposition se poursuit, vous finissez par avoir des cheveux crépus. La kératine protège la cuticule en l’enveloppant.

La kératine est le composant principal des cheveux. Ils doivent leur force, leur structure, leur élasticité à cette protéine. Au fur et à mesure que le cheveu est agressé, il finit par être endommagé et sa teneur en kératine naturelle diminue. C’est là qu’intervient le lissage brésilien. Celui-ci injecte de la kératine dans les cheveux endommagés. Elle se lie alors à la fibre capillaire et prend la place de la kératine naturelle qui a disparu. Cette liaison entraîne la restauration de la structure de la fibre capillaire. Voilà pourquoi on dit que le lissage brésilien renforce les cheveux. La fibre capillaire redevient également capable de se protéger contre les agressions (par exemple : celles des substances chimiques contenues dans les produits de coloration). Vous savez maintenant pourquoi après un lissage brésilien vos cheveux sont forts, brillants, et sains. Cerise sur le gâteau, en plus de traiter les cheveux, le produit les lisse.

Les examens à faire

Pour pouvoir profiter des avantages de l’appareil auditif, vous devez avoir une perte d’audition moyenne de 30dB. Cette dernière est mesurée à partir d’un examen qu’on appelle audiométrie qui permet de mesurer la qualité de votre audition. En principe, c’est votre médecin ORL qui effectue ce type d’examen. Pour ce faire, il peut utiliser certains instruments comme l’audiomètre de dépistage et de diagnostic. L’audiométrie vient compléter l’acoumétrie qui est également un moyen de mesurer l’audition mais qui se fait par appréciation du médecin. Pour cela, le médecin peut par exemple chuchoter et puis parler fort dans les oreilles du patient, il peut également lui demander d’écouter les aiguilles d’une montre pour évaluer la perception des fréquences aiguës. On peut dire que l’acoumétrie est le premier examen que fait votre médecin ORL, ensuite il vient le compléter avec l’audiométrie.

Comment choisir son appareil auditif ?

Actuellement, il existe plusieurs types de dispositifs médicaux pour corriger la surdité comme l’appareil auditif Resound proposé sur cette page ou l’implant auditif. Pour pouvoir faire le bon choix, vous devez connaître les critères suivants : la nature et le degré de votre perte d’audition, l’utilisation que vous comptez faire de votre appareil auditif, la taille et la forme de vos oreilles, le côté esthétique et surtout confortable de votre appareil et votre budget. En effet, vous devez prévoir un certain budget pour l’achat de votre appareil car ce dernier peut coûter cher, surtout si vous choisissez les grandes marques.

Chaque hypnothérapeute a sa propre définition de l’état d’hypnose, il n’existe pas de définition universelle de l’hypnose.

Cependant certaines métaphores correspondent aux stéréotypes associés à l’hypnose, comme le sommeil, I n’y a pas un sommeil, mais plusieurs phases de sommeil :

Le processus d’endormissement ; la somnolence ; le sommeil paradoxal où se produisent les rêves, le sommeil profond …

Si tous ces sous-états sont tous réunis sous l’appellation “ sommeil “ ils sont tous très différents dans leur fonction et leur ressentis.

De la même manière, l’induction à l’état de l’hypnose ; une transe légère, profonde, ou somnambulique seront toutes regroupés sous le nom d’état d’hypnose, mais seront toutes très différente tant au niveau de leurs rôles et de leur de ressenti.

– L’état d’hypnose, un état naturel ? réceptivité et résistance

Une des grandes révolutions de l’hypnose fût l’opposition du jeune Milton Erickson, avec son professeur de l’époque, Clark Hull.

Clark Hull hypnotisait alors ces sujets via des inductions strictes suivant des étapes et
des protocoles précis, si à l’issue du protocole il estimait que les sujets n’avaient pas été hypnotisés, ils déclaraient les sujets “ non-hypnotisables “.

Cette pratique était jusque-là la norme, l’opposition de Milton Erickson consista à récupérer discrètement les sujets “ non-hypnotisables “ pour les hypnotiser avec des techniques qu’il développait, en s’adaptant à chaque personnalité, sans notion de temps ou de protocoles stricts, et il réussit à hypnotiser les sujets déclarés non hypnotisables.

Milton Erickson n’aura cessé toute sa vie de penser que toute personne était hypnotisable, chacun à sa façon et à son rythme, étant également persuadé que l’hypnose était un état naturel, et donc accessible à tous.

Les résistances à l’hypnose sont souvent liées à une mauvaise

– Transes spontanées et openers

Certains états spontanés du quotidien peuvent ressembler à certaines transes hypnotiques, voici quelques exemples de certains états naturels exploitables pour l’hypnose

Vous pouvez retrouver beaucoup d’informations sur l’hypnose sur le blog de cet hypnothérapeute : https://www.peyrega-hypnose-paris.fr/

L’absence, la rêverie, le “ bug “

Cette légère “ absence “ que l’on va tous vivre plusieurs fois par semaine, qui consiste à laisser son regard se fixer sur un point, le corps immobile, coupé quelques des sons ambiants et d’une forme de réalité le temps de quelques secondes, est semblable en beaucoup de points à certains états d’hypnoses.

On y retrouve très souvent une catalepsie, un regard fixé sur un point, et dans une certaine mesure l’abstraction des sons ambiants.

Voici un exemple simple de l’utilisation d’une porte d’entrée dans l’état d’hypnose via un état spontané du sujet.

La gêne, la confusion :

Lors d’une démonstration filmée, le grand hypnothérapeute Milton Erickson utilisa le retard d’une des spectatrices pour créer une gêne, il profitait que cette jeune femme essayait d’aller s’asseoir le plus discrètement possible pour l’interpeler et la faire venir s’asseoir devant lui, devant tout le public.

Il ne manqua pas de profiter de ce moment de honte pour proposer à cette spectatrice de servir de sujet de démonstration, elle acceptait et partait très rapidement en transe, ce qui représentait pour elle un très bon moyen d’échapper au regard des gens présents dans la salle et à la grande gêne qu’elle devait ressentir.

La confusion fonctionne sur ce principe, créer ou profiter d’un surplus d’information pour proposer par la transe hypnotique une porte de sortie simple.

Utiliser le fait qu’une personne soit mal à l’aise, gêné, ou en confusion est une parfaite porte d’entrée pour l’hypnose, que ces états soient créer par l’hypnotiseur ou utilisé dans un état déjà présent.

La fatigue :

La fatigue est un excellent état à exploiter pour partir en hypnose, et dans ce cas précis, les raccourcis avec le sommeil seront un parfait moyen d’aller rapidement dans des transes stuporeuses profondes.

– Les capacités de l’état d’hypnose :

Une des très bonnes façons de présenter l’hypnose et de donner envie de la vivre est d’expliquer les possibilités qu’elle offre, via des exemples et des petits exercices

Dans le passé, Milton Erickson eut l’occasion de prouver les capacités obtenues avec l’état d’hypnose, notamment lors de deux expérimentations :

Refroidir ou réchauffer une main sous hypnose :

Lors de cette expérience, Milton Erickson réunissait 7 personnes, l’expérimentation fut contrôlée à l’aide d’un pléthysmographe afin de mesurer les changements physiologiques.

À l’état d’éveil, il donna comme instruction à chaque personne de fixer une horloge du regard durant cinq minutes en essayant de refroidir une main et de réchauffer l’autre.

Les contrôles volumétriques ne montrèrent aucun changement.
Pour la deuxième partie de cette expérimentation, tous les sujets furent plongés dans une transe somnambulique profonde, puis on leur donna les mêmes instructions.

Sur les 7 sujets, toutes les mesures démontrèrent que chaque sujet avait développé une vasoconstriction pour la main refroidie, puis une vasodilatation pour ma main réchauffée.

Plus intéressant encore, après entrainement et en autohypnose, tous les sujets réussirent de façon autonome à recréer eux-mêmes les sensations de chaud et de froid et les modifications corporelles associées.

Conclusion :

Nous pouvons tirer comme conclusion que beaucoup de reflex du corps non contrôlable à l’état d’éveil peuvent être modifié grâce à l’état d’hypnose et dans un deuxième temps grâce à l’état d’hypnose.

La technique pour obtenir ces phénomènes sous hypnose consiste à faire revivre les réactions que le corps a pu manifester dans des situations passées, avec un stimulus revécu à l’aide d’une régression pour l’occasion.

Le champ d’action en thérapie est énorme, une personne souffrant de phobie, de crise d’angoisse, de gêne physique liée à la prise de parole en public manifeste très souvent de nombreuses gênes physiologiques.

Les possibilités de l’état d’hypnose dans le domaine médical et dans la thérapie sont énormes, et nous n’avons sans doute pas encore découvert toutes les capacités de cette formidable discipline

Comment dépister le cancer colorectal ?

Le cancer colorectal est le troisième cancer le plus courant. Cette pathologie peut atteindre les femmes que les hommes. D’ailleurs, c’est la deuxième cause de décès de cancer dans tout l’Hexagone. Cela dit, elle doit être alertant. En effet, les personnes entre 50 et 74 ans bénéficient du dépistage organisé. Cela repose sur des tests immunologiques. Moins contraignants que les anciens dépistages, ces tests sont à faire chez soi, avec un seul prélèvement. En effet, plus la maladie est détectée tôt, le cancer colorectal a toute la possibilité d’être guéri complètement.

Risques et prévention du cancer du côlon

L’âge, l’hérédité, l’alimentation, etc. sont des facteurs de risques du cancer du côlon. Dans la plupart des cas, on peut identifier une lésion commune à l’origine de la maladie : les polypes. Une vigilance particulière est recommandée si vous présentez un ou plusieurs facteurs de risque du cancer colorectal. Il faut trouver les meilleurs moyens de les réduire en suivant des conseils alimentaires. Voyez si le cancer est héréditaire et misez sur les voies de recherche en matière de prévention.

Les traitements contre le cancer colorectal

Choisir un traitement dépend de la localisation et du stade de la maladie. Cela signifie que le personnel de la santé ne peut en décider. Pour déterminer le meilleur soin le plus adapté, il faut une réunion de concertation pluridisciplinaire. Le traitement commence généralement par la chirurgie qui permet d’extirper la tumeur. Ensuite, la radiothérapie, comme les thérapies ciblées et la chimio, peut aider à localiser les cancers du rectum. En fonction de l’état du patient, il est possible d’associer un ou plusieurs traitements.

Utilisez l’oignon

Oui, l’oignon est un légume qui a pour vocation de vous faire verser quelques gouttes de larmes en l’épluchant, mais pas que ! Au contraire, il est souvent utilisé dans de nombreux remèdes naturels comme pour soigner les hématomes. Grâce à l’alliinase qui pique vos yeux, il peut activer le flux lymphatique et éviter l’accumulation du sang et donc, la formation du bleu. Alors, si vous vous cognez sur une chose, pensez à couper l’oignon en rondelle. Ensuite, appliquez-la sur la zone en bleu pendant environ 10 minutes. Efficace, cette technique donne un résultat garanti.

Servez-vous des glaçons

Très classiques, mais qui ont longtemps fait ses preuves ! Les glaçons peuvent causer une contraction au niveau de vaisseaux sanguins. Ils diminuent ainsi l’inflammation. Cela se traduit par la réduction de l’afflux sanguin et la disparition du bleu. Il faut noter que le froid peut endormir cette zone et donc soulager la douleur. Si vous appliquez les glaçons juste après le choc ou le coup, moins vous aurez mal. Veillez tout de même à ne pas les poser directement sur la peau. Pensez à les envelopper dans une serviette ou encore un linge.

Appliquez l’arnica sur la zone

Un produit naturel pour faire face aux petits bobos quotidiens, l’arnica se présente sous différentes formes : infusion ou macérât huileux. Cet anti-inflammatoire particulièrement puissant peut aider à éviter l’apparition des hématomes et le gonflement excessif de la zone. Vous n’avez qu’à appliquer quelques gouttes sur le bleu ou à imbiber un petit bout de coton avec l’infusion de ses fleurs et à l’apposer sur la bosse. Répétez-le 2 fois en une seule journée pendant 1 ou 2 jours. Attention, cette technique reste déconseillée en cas de blessure avec une plaie ouverte.

Un masque de sommeil, c’est quoi ?

Avant toute chose, il est nécessaire de savoir qu’un masque de sommeil est un accessoire qui permet à une personne de dormir plus rapidement et plus sereinement, sans être dérangée par la lumière aux alentours. Il peut être utilisé de jour comme de nuit, et dans son lit comme en voiture, en train, en avion ou même sur la plage. C’est un accessoire qui couvre parfaitement les yeux pour aider la personne à bien dormir.

Choisir la marque selon sa matière de conception et sa forme

Pour choisir le bon masque de sommeil, la première chose à voir c’est sa matière de conception. Idéalement, il faut opter pour les masques doux conçus dans des matières qui n’agressent pas la peau comme la soie. Cette matière est également recommandée si vous avez la peau sensible. On a aussi des modèles haut de gamme faits à partie de cachemire ou du satin qui est également soyeux et doux au toucher. Pour les personnes qui aiment voyager et dormir lors d’un déplacement en train ou en avion, l’idéal serait d’avoir un masque en coton qui est une matière à la fois douce et souple. Et enfin, si vous êtes du genre à transpirer facilement, il est préférable de choisir un masque en polyester. Vous pouvez trouver des modèles de masque de sommeil sur https://bien-dormir.net/produit/masque-de-sommeil-gel/. Concernant la forme du masque, il doit recouvrir entièrement vos yeux. Toutefois, il faut qu’il y ait un petit espace entre vos yeux et la matière. Cela va permettre à vos paupières de cligner de manière naturelle même en dormant.

Le niveau de confort

Mis à part la forme et la matière de conception du masque, il faut également être attentif concernant le confort offert par le masque de sommeil. De cela va dépendre la qualité de votre sommeil. En essayant le masque, il doit bien épouser le contour de votre tête et s’adapter à la forme de votre visage. Mais également, il ne devra faire passer aucune source de lumière et être entièrement opaque. Faites également attention à bien vérifier le système de fermeture et de fixation du masque qui doit être ajustable.

Utiliser le bouche-à-oreille

Le moyen le plus simple de trouver une bonne agence de pompes funèbres est le bouche-à-oreille. Demandez conseil à toutes les personnes que vous connaissez, famille ou amis qui ont déjà fait appel à une entreprise de pompes funèbres. Ils peuvent très rapidement vous indiquer l’adresse d’un bon prestataire funéraire près de chez vous.

Visiter des sites web

La visite des sites internet des agences des pompes funèbres n’est pas non plus à écarter. Pour cela, il suffit de taper sur le moteur de recherche : pompes funèbres à + le nom de votre ville ou département. Vous obtiendrez sûrement plusieurs résultats. Pour être sûr de faire le bon choix, référez-vous aux avis et appréciations des internautes sur les services proposés par chaque agence que vous trouverez en ligne. En d’autres termes, ne vous contentez pas de visiter un seul site, mais comparez plusieurs offres. Contactez ensuite l’agence que vous trouvez intéressante et demandez-lui toutes les informations essentielles sur ses prestations  : le prix moyen d’un cercueil, le coût des prestations en fonction du type de cérémonie choisi.

Parcourir des annuaires de pompes funèbres

Un autre moyen rapide de trouver un prestataire funéraire est de parcourir des annuaires de pompes funèbres. On est tous d’accord que la proximité géographique est l’un des critères de sélection les plus importants. Vous pourrez également vous référer sur l’annuaire des pompes funèbres en France, c’est une liste complète des agences des pompes funèbres, classées par région, département et ville. Ce genre de piste permet de sélectionner et de trouver des pompes funèbres près de chez vous et facilitent la comparaison des devis proposés par chaque prestataire pour l’organisation des funérailles. À noter qu’un devis doit détailler les prestations obligatoires et optionnelles ainsi que les taxes extérieures en matière funéraire. Certaines pompes funèbres mentionnent dans leurs devis le coût du cercueil, des accessoires funéraires et de l’urne cinéraire.

Se renseigner auprès de la mairie

Si vous n’arrivez toujours pas à trouver la bonne agence funéraire la plus près de chez vous après avoir parcouru les pistes précédemment mentionnées, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de la mairie de votre commune. Il doit y avoir la liste de toutes les entreprises de pompes funèbres présentes dans la commune. Néanmoins, rien ne vous empêche de vous adresser à une agence située hors de la commune si elle a tous les atouts requis pour vous rassurer.

Autres conseils

Avant de signer quoi que ce soit, il faut bien vérifier les termes mentionnés et demander un double du contrat. Il faut également noter que nul ne peut imposer votre choix. Selon la loi relative à la législation funéraire ou la loi Sueur n°2008-1350 du 18 décembre 2008, il est interdit de faire toute recommandation et tout démarchage du lieu et du mode de sépulture.

La date limite de consommation (DLC)

D’après les articles de Ma Maison Ma Santé, il est important de privilégier une alimentation de qualité. Il suggère même de manger surtout des produits bios. Mais si vous ne pouvez pas acheter des produits frais, vous pouvez toujours utiliser des produits en conserve. Pour s’assurer de la qualité du produit, il ne faut pas oublier de vérifier la date limite de consommation. En effet, sur le paquet d’un produit alimentaire est indiquée la mention « à consommer jusqu’au ». L’inscription de cette date est une obligation pour les produits périssables. Ainsi, au-delà de cette date, il est interdit de consommer l’aliment, car il devient toxique à cause de la présence de certaines bactéries comme la salmonellose et la listériose.

La date limite de durée minimale (DDM)

Elle est déterminée par la mention « à consommer de préférence avant le… ». Cette information est surtout présente sur les produits comme les conserves et les boissons. Manger le produit au-delà de cette date n’a aucun impact sur la santé, mais le goût sera alterné par le temps et les garanties nutritionnelles sont réduites. Bien évidemment, pour plus de sécurité, il est préférable de consommer l’aliment avant cette date.

Peut-on adopter une marge de quelques jours ?

Pour connaître la date limite de consommation, les experts effectuent des tests de vieillissements sur le produit. Cela leur permet de savoir au bout de combien de temps les produits commencent à être contaminés. Pour des raisons de sécurité, les producteurs rajoutent quelques jours supplémentaires, afin d’éviter les anomalies de conversation des consommateurs. Ainsi, si vous consommez le produit environ 24 h après cette date, les risques d’intoxications alimentaires sont moindres. Cependant, ce délai dépend surtout de la nature de l’aliment. Un pot de yaourt peut avoir un goût plus acide après la date de péremption, alors que les charcuteries seront très toxiques au-delà de cette date.

Est-il possible de congeler un produit ?

Oui, il est tout à fait possible de le faire, mais cela ne veut pas dire que vous devez oublier la date limite de consommation. Vous devez prendre la précaution de lire le nombre de jours avant la date de limite de consommation. Une fois la décongélation effectuée, vous n’avez que ces quelques jours pour consommer le produit.

Attention, le fait de congeler un produit dont la DLC est dépassée est très dangereux pour la santé, car les bactéries se multiplient beaucoup plus vite quand vous décongelez le produit. Si vous le consommez, vous pourrez être victime d’une intoxication alimentaire grave.

A jeter après la date limite de consommation

Une fois la DLC dépassée, certains aliments présentent une texture assez inhabituelle. Vous devez ainsi tout de suite jeter les céréales, les pains et les fruits secs qui ont une trace de moisissure. Les charcuteries et les viandes sont à jeter une fois qu’il y a un gonflement au niveau de l’emballage. Les produits contenant une importante quantité d’eau et qui sont déjà couverts de traces de moisissures sont à mettre à la poubelle. Les boîtes de conserve ayant un couvercle bombé, les œufs fêlés à cause de la salmonelles et les œufs qui flottent si on les plonge dans un verre d’eau sont à jeter. Il est à noter que l’œuf fait partie des aliments les plus toxiques qu’il faut tout de suite jeter dès que la date de péremption est dépassée.

La table d’examen est la plus basique et complète

De conception rudimentaire, la table d’examen permet au patient de s’allonger. Ce mobilier médical est souvent fixe. Il convient à bon nombre de praticiens en commençant par le généraliste. Les masseurs kinésithérapeutes et d’autres soignants utilisent également ce plateau. Basique, ce support se destine juste à ausculter un malade en position couchée. Il n’y a pas de réglage possible en ce qui concerne la hauteur. L’ergonomie n’est pas au rendez-vous non plus. Certains modèles ont un peu évolué avec une sellerie plus confortable.

Le divan d’examen veut être un mobilier médical moderne

Avec le divan d’examen, le confort du patient est déjà considéré. Il peut rester quelques minutes sur le mobilier sans se sentir mal. Ce qui offre au praticien la possibilité de l’ausculter sans se presser. La véritable différence avec la table médicale classique serait la hauteur réglable. L’ensemble se compose de deux éléments. La tête peut être relevée. C’est également le cas pour le buste si le médecin a besoin de maintenir son client dans cette position. Le dossier est même commandé par un vérin hydraulique ou un moteur électrique sur certains modèles.

Un fauteuil d’examen offre une assise confortable

Le fauteuil d’examen est un véritable divan. Il permet au patient de se tenir en 3/4 couché. Cette posture est indispensable pour de nombreux cabinets, en l’occurrence chez le psychothérapeute. L’équipement invite à se détendre avec une position agréable pour les jambes et les bras. L’inclinaison est gérée de manière à ménager la colonne vertébrale. A la différence du divan, le fauteuil d’examen ne permet pas de s’allonger complètement.

Définition de l’hystérosalpingographie

L’hystérosalpingographie est un examen médical pratiqué sur les femmes. C’est un examen radiographique permettant d’explorer l’utérus et les trompes de Fallope en vue de détecter toute forme d’anomalie. Pour vérifier la perméabilité des trompes, il faut, lors de l’examen, injecter un produit spécifique dans la cavité utérine. L’HSG ou hystérosalpingographie, en plus de permettre de vérifier la perméabilité des trompes, sert aussi à confirmer que la cavité utérine est normale, tout comme les orifices internes et externes des trompes et les trompes utérins eux-mêmes. A noter que cet examen ne sert pas à explorer les ovaires. Le plus souvent, l’HSG est demandée par le médecin pour établir un bilan de santé ou bien un bilan de fausses couches répétitives ou tardives. Elle peut aussi être indiquée en cas d’accouchement prématuré ou de saignement utérin. Elle sert d’ailleurs à confirmer une anomalie détectée au niveau de l’utérus après une échographie. En gros, l’hystérosalpingographie est indiquée pendant le traitement de la stérilité, surtout quand celle-ci est d’origine tubaire. Parfois, pour plus de précision, l’hystéroscopie diagnostique peut être pratiquée pour plus de précision. A noter que ce type d’examen peut être contre indiqué dans certains cas notamment chez les femmes enceintes ou en présence d’une infection génitale évolutive.

Déroulement de l’hystérosalpingographie

L’hystérosalpingographie se pratique avant ou après la période des règles, le mieux c’est de faire l’examen pendant la première partie du cycle : entre le huitième et treizième jour. En effet, ce moment-là, c’est certain que la patiente n’est pas enceinte. De plus, il est plus pratique d’analyser l’endomètre cette période car il est plus fin. Sinon, si la patiente n’a plus ses règles puisqu’elle se trouve déjà en période de ménopause, l’hystérosalpingographie peut toujours être réalisée sauf si elle présente des saignements. Il faut, dans ce cas-là, pratiquer l’examen quand la patiente ne présente pas de saignement. Quoi qu’il en soit, la vessie doit toujours être vide pour que tout se déroule bien. La patiente est placée en position gynécologique sous un appareil spécifique de radiographie. Un spéculum est inséré dans le vagin ainsi qu’une sonde pour permettre l’injection du produit de contraste, qui va parcourir la cavité de l’utérus et les trompes. Pour bloquer le retour du produit dans le vagin, le médecin utilise un ballonnet minuscule qu’il faut gonfler. Ensuite, il procède à la prise de nombreux clichés radiographiques. On demande à la patiente de porter une serviette hygiénique puisqu’après l’examen le reste du produit de contraste s’écoule à l’extérieur. Il est possible de présenter des saignements quelques jours après l’hystérosalpingographie. Il ne faut pas hésiter à en parler au médecin car cela peut être le signe d’une infection. Avant l’examen, le médecin doit informer la patiente des douleurs que cet examen peut présenter. En effet, l’insertion de la sonde peut faire mal. A noter que lorsque le produit de contraste se répand, les douleurs peuvent aussi être vives.