Un choc psychologique peut arriver à tout le monde. Le traumatisme survient lorsqu’un événement prend une tournure inattendue. Cet aléa de la vie n’épargne pas les jeunes. Il concerne aussi les personnes âgées. Ce qui prouve la nécessité d’une bonne gestion des émotions. La libération émotionnelle et bien d’autres techniques permettent de s’en sortir avec brio. Voyons tout cela en détail.

Ce qui arrive pendant un choc émotionnel

Le choc émotionnel est une réaction de l’organisme à une situation désobligeante. L’effet de surprise suffit à ébranler tous les repères. Ainsi, une personne battante qui ne montre jamais ses faiblesses peut fondre en larme face à la perte d’un proche. Dans certains cas, la réaction met un certain temps à venir. Pour cause, la personne est pratiquement sous anesthésie à l’instant T où l’événement traumatisant lui arrive. Pendant une rupture amoureuse ou lors d’un licenciement, les hormones du stress peuvent maintenir la personne à flot. Ainsi, elle résiste bien à ce qui lui arrive pendant un certain temps. Les symptômes commencent à survenir deux semaines ou plus après le traumatisme.

L’hyperactivité est une forme de protection courante que l’organisme adopte. La victime d’un choc tend à rester occupée la plupart du temps. Elle développe même une certaine manie de la perfection. Cette personne reste active jusqu’à l’épuisement. Pendant le sommeil, des cauchemars répétitifs confirment le blocage sur certains ressentis négatifs. Puis, les personnes les plus prudentes ont tendance à éviter les sujets qui rappellent le traumatisme. Elles changent carrément de chaîne de télévision dès qu’une thématique qui les contrarie s’affiche à l’écran. Ce réflexe d’évitement est synonyme d’un mal-être profond chez de nombreuses personnes traumatisées. Le geste d’autoprotection reste des années après le choc psychologique. Il demande des efforts pour la libération émotionnelle.

Comprendre ce qui se passe après un traumatisme

Après une épreuve, toute personne normale va chercher à colmater la brèche. Il faut une échappatoire. Pour certains, le réconfort se trouve dans l’alcool. D’autres vont devenir des fervents croyants du jour au lendemain. Puis, il y a aussi ceux qui cherchent à se rapprocher des personnes qui endurent les mêmes souffrances. Tant mieux si la rencontre peut aboutir à une forme d’entraide. D’autres cherchent des solutions en ligne et tombent sur des sites comme https://www.emotions-detox.fr/ sur lesquels ils trouvent des conseils utiles.

Le stress post-traumatique est bien réel. Cette phase douloureuse survient après que la résistance presque bestiale après le choc émotionnel retombe. Quoi qu’il en soit, seul le psychiatre peut déterminer qu’une personne souffre de syndrome post-traumatique. Cette pathologie est considérée comme une vraie maladie. À un certain degré, elle devient invalidante. De nombreux soldats revenant de zone de guerre en souffrent. L’anxiété ainsi qu’une sensibilité à fleur de peau constituent les principales caractéristiques de ce mal. Un sentiment de culpabilité s’installe et peut aussi durer des années. La victime a tendance à se considérer comme l’unique responsable des événements. Il lui arrive d’entreprendre des actions qui visent à réparer les dégâts. Tant mieux si un soldat préparé pour le combat devient pacifiste du jour au lendemain. Ce serait plus grave s’il passe du côté de l’ennemi.

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