1. Un fibrome utérin, c’est quoi ?

Il s’agit de petites tumeurs bénignes se développant dans l’utérus. Plus précisément, c’est en quelque sorte de petites masses circulaires. En fonction de leur localisation exacte, les fibromes peuvent être dits sous-muqueux, interstitiels et sous-séreux. Par ailleurs, on peut les trouver sur tous types d’organes, mais le plus souvent au niveau de l’utérus. Bien que ce soient des tumeurs bénignes, il reste quand même préférable de les enlever afin d’éviter des complications.

2. Les symptômes

Dans la plupart du temps, les fibromes ne présentent pas de symptômes. Ainsi, ils peuvent passer inaperçus durant des années. C’est en faisant seulement un examen médical, notamment une échographie qu’on décèle la présence d’un fibrome. Mais il arrive que cette pathologie entraine des symptômes pouvant être gênants pour la patiente. Pour les fibromes qui présentent des symptômes, ceux-ci se manifestent souvent par des saignements abondants durant les règles, des douleurs abdominales dans le bas du dos ou lors des rapports sexuels, de la constipation ou encore des envies fréquentes d’uriner. Si vous voulez confirmer le diagnostic, un examen gynécologique s’impose.

3. Les causes

À l’heure actuelle, les études sur le sujet n’ont pas encore permis de découvrir les causes précises de l’apparition d’un fibrome. Toutefois, il est à remarquer que les sécrétions hormonales contribuent à la formation de fibromes.

4. Les traitements possibles

Si le fibrome utérin est asymptotique, une simple surveillance de manière régulière est plus que suffisante. En effet, dans la plupart des cas, les fibromes régressent au fil du temps, après la ménopause. Pour les fibromes qui présentent des signes cliniques, plusieurs traitements peuvent être appliqués comme les traitements médicamenteux, l’embolisation (interrompre la vascularisation des artères utérines qui irriguent le fibrome), l’ultrason, la thermocoagulation de l’endomètre et bien entendu l’opération du fibrome.

Comment dépister le cancer colorectal ?

Le cancer colorectal est le troisième cancer le plus courant. Cette pathologie peut atteindre les femmes que les hommes. D’ailleurs, c’est la deuxième cause de décès de cancer dans tout l’Hexagone. Cela dit, elle doit être alertant. En effet, les personnes entre 50 et 74 ans bénéficient du dépistage organisé. Cela repose sur des tests immunologiques. Moins contraignants que les anciens dépistages, ces tests sont à faire chez soi, avec un seul prélèvement. En effet, plus la maladie est détectée tôt, le cancer colorectal a toute la possibilité d’être guéri complètement.

Risques et prévention du cancer du côlon

L’âge, l’hérédité, l’alimentation, etc. sont des facteurs de risques du cancer du côlon. Dans la plupart des cas, on peut identifier une lésion commune à l’origine de la maladie : les polypes. Une vigilance particulière est recommandée si vous présentez un ou plusieurs facteurs de risque du cancer colorectal. Il faut trouver les meilleurs moyens de les réduire en suivant des conseils alimentaires. Voyez si le cancer est héréditaire et misez sur les voies de recherche en matière de prévention.

Les traitements contre le cancer colorectal

Choisir un traitement dépend de la localisation et du stade de la maladie. Cela signifie que le personnel de la santé ne peut en décider. Pour déterminer le meilleur soin le plus adapté, il faut une réunion de concertation pluridisciplinaire. Le traitement commence généralement par la chirurgie qui permet d’extirper la tumeur. Ensuite, la radiothérapie, comme les thérapies ciblées et la chimio, peut aider à localiser les cancers du rectum. En fonction de l’état du patient, il est possible d’associer un ou plusieurs traitements.

Initiée par le médecin traitant

C’est le médecin traitant qui initie la démarche de prise en charge à 100 % par la Sécurité Sociale. Il lui incombe de remplir le formulaire dédié et intitulé « Protocole de soins ». Une fois que ce formulaire est dûment rempli et envoyé, la Sécurité Sociale devrait le valider dans un délai de 1 mois. En fait, cette prise en charge s’exerce avec un effet rétroactif au début du cancer, en tout cas, lors du premier diagnostic. Tout le parcours de soins est pris en compte dès le début. Il est donc très important de garder précieusement tous les justificatifs des frais de santé tels que les décomptes Sécurité Sociale et Mutuelle, les feuilles de soins, etc.

Au coeur de la prise en charge

Une fois que la Sécurité Sociale a donné son accord, vous pouvez demander le remboursement des frais engagés. Vous devez mettre à jour les données de votre carte Vitale car c’est avec celle-ci que vous accéderez aux soins auprès des professionnels de santé qui appliquent le tiers payant. Si votre état nécessite de nombreux soins et traitements, cette disposition vous permettra de ne pas avoir à avancer les frais. Lorsque vous signerez le Protocole de soins, vous prenez connaissance de la liste des soins et traitements inclus dans la prise en charge de la Sécurité Sociale.

Comment fonctionne la thyroïde ?

Cette glande produit la thyroxine ou T4 accélère les réactions chimiques du corps et se convertit en la tri-iodothyronine ou T3 qui régule le calcium dans le sang.

Ces deux hormones sont transportées dans le sang pour atteindre tous les organes et cellules du corps. La thyroïde contrôle le fonctionnement de l’organisme et donc du métabolisme. Elle fournit l’énergie nécessaire à l’organisme lui permettant de fonctionner normalement. Elle agit alors sur toutes les parties du corps, le cœur, le système nerveux, le tube digestif, la peau, les cheveux et même l’appareil génital.

Qu’entend-on par hyperthyroïdie ?

L’hyperthyroïdie est la surproduction des hormones de la thyroïde. Cela accélère le système métabolique du corps. Par conséquent, tout va à grande vitesse dans l’organisme. Vous pouvez souffrir d’une accélération cardiaque, d’une diarrhée chronique liée à la fonction intestinale, d’une hypersudation liée aux glandes sudoripares, d’une hausse de la température corporelle, d’hyperactivité liée au système nerveux ou encore de tremblement de mains. L’appétit se voit également agrandi, mais vous perdez tout de même du poids, car le métabolisme a également augmenté. Vous pouvez souffrir de règles abondantes et douloureuses, de diminution de force musculaire et de baisse de libido.

Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

L’hypothyroïdie est la sous-production des hormones de la thyroïde. Lorsque cette glande ne produit plus assez de T4 et de T3, le métabolisme ralentit. Vous sentez une fatigue physique et psychique chronique. Vous souffrez de somnolence, de baisse de température corporelle, de ralentissement du cœur, de constipation, de chute de cheveux et de sécheresse de la peau. Votre appétit diminue alors que vous gagnez du poids. L’hypothyroïdie détériore aussi le mental. Eh oui, lorsque le système nerveux tourne au ralenti, votre moral peut toucher le fond. Les personnes souffrant d’hypothyroïdie sombrent parfois dans la solitude, la dépression, l’anxiété tandis que les personnes souffrant d’hyperthyroïdie souffrent plutôt d’hyperactivité, d’impatience et de nervosité. Les conséquences sont plus dévastatrices en cas d’hypothyroïdie, parce que vous pouvez souffrir de troubles mentaux plus sévères comme la schizophrénie. Vous pouvez perdre le sens de la réalité et avoir des hallucinations. La victime perd tout intérêt à la vie et devient paranoïaque. Pour mieux comprendre l’hypothyroïdie, rendez-vous sur hypothyroidie.eu. Vous verrez qu’il est parfois possible de combattre ce mal naturellement, notamment si sa cause est le stress.

Comment traiter ces troubles de la thyroïde ?

Il faut corriger l’hypothyroïdie en suivant un traitement à base d’hormones thyroïdiennes de substitution. L’organisme retrouve son fonctionnement normal lorsque le manque est comblé. Toutefois, il faut vérifier que la glande thyroïde a bien retrouvé sa fonction vitale avant d’arrêter le traitement.

Quant à l’hyperthyroïdie, il faut bloquer la synthèse des hormones thyroïdiennes en prenant des médicaments antithyroïdiens. Dans tous les cas, on peut toujours prendre des médicaments qui servent à calmer les symptômes pour améliorer la qualité de vie du patient.

Assurance maladie : définition et rôle

L’Assurance maladie est un système de protection sociale initiée par la Caisse Nationale d’Assurance Maladie ou CNAM. Le régime est focalisé sur les branches des accidents du travail et de la maladie. L’Assurance maladie est fondée sur la prise en charge, sous conditions :
– De l’accès aux soins de tous les adhérents de nationalité française, qu’ils soient inscrits en tant que professionnels ou particuliers ;
– Du recours aux mesures préventives pour éviter les examens ou consultations médicales inutiles ;
– Des cas d’hospitalisation ou séjours à la maternité.
À travers les missions de la CNAM, l’Assurance maladie est présentée sous deux formes :
– Un remboursement de divers soins médicaux (dentisterie, consultation générale ou spécialisée), et des médicaments sur la base d’un barème préalablement indiqué ;
– Une orientation des affiliés à un réseau de professionnels de santé agréés.

L’assurance maladie : affilier votre bébé

Les parents peuvent faire bénéficier d’une prise en charge à leur bébé quand il est inscrit à l’Assurance maladie. L’adhésion peut s’effectuer dès la naissance, et suite à une procédure administrative, le nouveau-né dispose d’une carte vitale lui permettant de jouir des avantages d’un ayant droit. Pour cela, il suffit d’envoyer à la CNAM un acte de naissance du nouveau-né. Aujourd’hui, pour demander un acte de naissance à Bordeaux, les parents ne sont plus obligés de se déplacer à la mairie. Cette démarche peut être faite en ligne.

Les conséquences d’un blocage du diaphragme chez une personne angoissée

Un diaphragme bloqué ne fait pas mal. Ce phénomène arrive puisque la tension que la personne ressent est concentrée à ce muscle situé entre la cavité ventrale et le thorax. Le blocage se passe inaperçu. À part une sensation d’avoir une boule à l’estomac, tout semble bien aller. Seulement, ce muscle tient un rôle important sur la respiration. Lorsqu’il se fige, la partie inférieure de vos deux poumons perd en mobilité. Si la base de vos organes respiratoires doit vous fournir l’essentiel de l’oxygène utile à l’organisme, seul le haut s’attelle au travail. Cela vous épuise et vous prive d’un gaz vital. En immobilisant une bonne partie de vos poumons, le diaphragme en grève vous coupe l’oxygène pour le cerveau. Vous ressentez une certaine difficulté à vous concentrer. Vous payez même cette dysfonction par une perte de vos capacités cognitives. Le blocage du diaphragme peut durer dans le temps auprès des personnes atteintes de stress chronique.

Des effets parfois fatals sont même à craindre

La crispation se ressent au niveau de votre posture. Vous avez tendance à vous vautrer avec la colonne vertébrale courbée. Cette position peut devenir permanente sans une prise en charge rapide. Des soucis digestifs vont aussi apparaître puisque la partie des poumons qui fonctionne mal a de mauvaises influences sur votre transit intestinal. Outre les constipations, les occlusions pourront être graves. L’estomac subit de plein fouet les effets de vos crispations avec d’éventuelles crampes et une vilaine hernie hiatale. Le cœur en pâtit aussi avec une compression permanente. La palpitation peut survenir et un malaise cardiaque est à craindre sur le long terme. Les organes voisins du diaphragme peuvent aussi ressentir la fatigue, notamment le foie. Cette glande responsable de 1000 fonctions distinctes perd de sa performance avec de mauvaises conditions de travail. La liste est longue, elle concerne même la fonction reproductive et la sexualité en plus de détériorer votre humeur. Les personnes sujettes à l’angoisse sont souvent anormalement irritables.

Les solutions pour une meilleure respiration et une gestion du stress

Le diaphragme est un muscle. Il a une certaine souplesse. Vous pouvez l’entraîner à devenir décontracté, quelle que soit la situation. Sachez que vous n’avez pas non plus l’obligation de concentrer les tensions dans ce pauvre intercalaire. Concrètement, vous devez apprendre à le détendre. Si vous n’y parvenez pas de votre propre chef, faites appel à un coach en respiration en vous rendant par exemple sur www.debloquer-diaphragme.com. Un maître en sophrologie ou un spécialiste offrant des vertus thérapeutiques peut aussi vous aider. Dans tous les cas, la respiration pour une meilleure gestion d’une crise d’angoisse est différente de ce que vous avez appris en cours d’éducation physique et sportive. En effet, il faut aspirer l’air et remplir la partie inférieure des poumons. Il faudra également apprendre à se concentrer sur l’essentiel dans la vie.

Une maladie qui se développe au fil des années

Malgré qu’il puisse être déclaré à n’importe quel moment, le lumbago n’arrive pas soudainement. Il est le fruit de plusieurs années de négligence du bien-être de votre dos.
On a tous déjà contredit les professeurs quand ces derniers nous avaient redressés en mesurant exactement 30 cm entre le cahier et les yeux. On se disait : mais on ne voit rien ! Mais on n’est pas à l’aise ! Et pourtant, c’était un geste qui ne vous voulait que du bien. Garder votre dos plat en toute circonstance minimisait les risques de lumbago dans l’avenir.
Vous avez cette mauvaise habitude de vous pencher à 90 ° pour lasser les lassés ? Cessez immédiatement. Préférez plutôt le pliage du genou.
Que vous soyez assis ou debout, garder toujours le dos plat est un must. Ce n’est pas simplement une question d’esthétique. Cela limite l’apparition des lumbagos.
Et si votre travail consiste à porter des choses lourdes, sachez répartir le poids.

En France, les trentenaires sont exposés à des risques importants

Auparavant, le lumbago était considéré comme étant une maladie pour les vieux. Leur squelette est déjà fragile. Leur muscle n’est plus de toute jeunesse. De quoi augmenter les risques.
Cependant, selon les statistiques, les risques de lumbago atteignent maintenant leur apogée dès l’âge de 30 ans. La raison en est les conditions de travail. Les jeunes passent près de 8 heures par jour assis devant leur écran d’ordinateur. Ils ne marchent presque plus avec l’arrivée des nouvelles technologies : vidéo-tchat, voiture high-tech, maison intelligente, etc. Toutes ces conditions participent à la prolifération des douleurs lombaires.

Le sport : le must de toute personne adepte du bien-être

Quand on parle de bien-être et de santé, les activités physiques ne sont jamais loin. Les sports ont diverses vertus. Ils permettent d’améliorer la qualité du sommeil. Ils facilitent l’obtention d’une silhouette de rêve. Mais avant et surtout, ils participent à la réduction de la tension artérielle.
Au cours de l’effort, et quelques heures après, vous dilater les vaisseaux sanguins. Cela facilite la circulation du sang et régule en même temps la pression.
En pratiquant du sport à réseau de 1 heure par semaine en moyenne, vous minimisez les risques d’attaques cardiaques.
On ne fait aucune distinction en matière de sport. N’importe quelle activité physique fera l’affaire. Cependant, afin de vous assurer une efficacité optimale en ce sens, on vous conseille les disciplines qui font dépenser beaucoup d’énergie comme le jogging, les sports d’équipes, la natation, etc.

Éviter les cholestérols : pourquoi ?

Les cholestérols sont les pires ennemies du cœur et pourtant le meilleur des gourmets et des gourmands. Certes, cela donne un certain gout à vos plats, mais ils peuvent avoir des conséquences désastreuses aussi bien sur votre physique que sur votre cœur. Ils obstruent les vaisseaux sanguins.
Dit plus simplement, le cholestérol a les effets inverses du sport. Ils empêchent le sang de s’irriguer correctement.
Aujourd’hui, vous avez des produits sans cholestérol qui sont d’une saveur inouïe. Pourquoi ne pas s’initier ? En changeant simplement votre alimentation, vous vous évitez les tracas d’une éventuelle crise cardiaque. Une chose à bannir désormais est aussi de cuisiner au beurre, ainsi que tous les aliments et/ou plats saturés de lipides.

Les causes de l’hypertension artérielle chez les jeunes

En général, les principaux facteurs qui entraînent l’accroissement des sujets jeunes qui sont atteints par cette maladie, autrefois considérée comme étant une maladie des personnes âgées, sont : le tabagisme, l’excès du taux d’alcool dans le sang ainsi que les nicotines qui attaque directement le cœur par le manque d’oxygène. Outre cela, les mauvaises habitudes alimentaires jouent trop fréquents sont aussi considérés comme une source capitale de cette maladie. En effet, lorsqu’ils ne sont pas modérés, les premiers signes d’obésité apparaissent. Les jeunes deviennent alors paresseux et vulnérables. Par conséquent, ils deviennent facilement accessibles à l’hypertension. Pour finir, les stresses et la non-gérance des émotions sont des vecteurs qui conduisent les jeunes à être hypertendue. Pourtant, c’est un problème que l’on rencontre de plus en plus dans la société actuelle.

Les conséquences de l’hypertension artérielle

L’hypertension artérielle abime prématurément le cœur et est une des principales causes des accidents vasculaires cérébraux. Lorsqu’elle n’est pas suivie correctement par suivi par les professionnelles de la médecine, elle peut aussi conduire à un infarctus. Sinon, tous les autres organismes du corps humain peuvent être atteints et ne plus fonctionner correctement, allant du système nerveux jusqu’aux reins. Il est donc important d’adopter un mode de vie sain, que l’on soit jeune ou âgé, pour éviter de souffrir de cette maladie. Pratiquer régulièrement des activités physiques et apprendre à gérer sa colère peuvent être d’une grande aide.

Les différentes causes des troubles de l’érection

La première cause des troubles de l’érection est d’origine psychique. Toute contrariété peut avoir un impact sur la vie sexuelle d’un homme, idem pour le stress, la dépression, ou l’angoisse. Mais, outre le psychique, d’autres causes sont aussi très fréquentes notamment la fatigue, l’avancée de l’âge, l’alcoolisme et le tabagisme, ainsi que les maladies hormonales (hypothyroïdie, problème de testostérone, etc.) et les maladies cardiovasculaires (leucémie, infarctus, etc.). La prise de certains médicaments peut également entrainer des troubles de l’érection, c’est pour cela qu’il est toujours recommandé de bien lire les notices, surtout en ce qui concerne les effets secondaires. N’oublions pas que ces troubles peuvent toucher les jeunes hommes et les plus vieux. La dysfonction érectile est un problème très répandu en France et ailleurs.

Les traitements de ces troubles

Le traitement des troubles de l’érection peut être médicamenteux ou non. Souvent, la thérapie de couple peut apporter une amélioration considérable, ou même cesser l’apparition de ces troubles : on parle de psychothérapie du couple. Mais en fait, le traitement est choisi en fonction de l’origine des troubles. C’est pour cela qu’il convient de consulter un médecin. Les hommes ont tendance à soigner les troubles eux-mêmes en achetant des médicaments en pharmacie, et bien souvent ils ne produisent aucun résultat. Seul un médecin peut prescrire le traitement adapté à chaque patient en tenant compte des risques de priapisme (une érection persistante qui peut être très dangereuse). Il peut proposer trois types de traitements notamment les comprimés comme la Viagra ou l’Ixense, des injections intra-caverneuses comme l’Edex, ou bien des gels intra-urétraux tels que la muse.